« Les événements tragiques qui ont bouleversé le pays la semaine dernière, (...), ont amené l'UNAPL à reconsidérer les moyens de son action et à décider en accord avec ses organisations membres de surseoir à manifester le 22 janvier ». Pour autant, l'UNAPL, qui a réaffirmé son opposition « déterminée » face aux différents projets du Gouvernement qui remettent en cause l'exercice libéral, dont le projet de loi de Santé et le projet de loi Macron, prévient que "surseoir ne signifie pas renoncer ».
L'UNAPL va faire du 22 janvier « une journée de mobilisation nationale des professions libérales qui prendra la forme d'une conférence de presse des organisations membres de l'UNAPL, aux portes de Bercy » et une demande de rencontre sera adressée au Ministre de l'Économie. Dans les régions et départements, les UNAPL locales iront en délégation déposer une motion dans les préfectures. Enfin, l'UNAPL écrira à tous les élus, pour leur demander « de s'engager à soutenir les professions libérales qui constituent, avec leurs 2 millions d'emplois non délocalisables, une chance pour notre pays ».
L'UNAPL surveillera les débats parlementaires à venir, et n'hésitera pas p durcir à nouveau le ton.
Voir le communiqué de l'UNAPL du 14 janvier